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«  Daniel Lafouge travaille dans la pierre ces éphémères instants de transition entre le vivant et l’au-delà. Cette dynamique insaisissable et impalpable, dont les traces laissées et perdues animent les mouvements et les vestiges du roc » (sic).

 

Georges Silva, critique d’art

 

2008- 4ème Biennale internationale d’Art Contemporain de Marcigny.

Sans le travail de l’artiste, notre monde serait désenchanté. Merci Daniel Lafouge pour votre regard qui va plus loin que l’apparence

 

 2015 – Carte Blanche - livre d’or 19/09/2015 †Benoit Rivière

C'est une sculpture pleine d'émotions.

2021 - Domi Rousseau à propos de "Jésus"
Daniel Lafouge, artiste de tous les timaginaires, collages, peintures, tapisseries et sculptures pierre ou bois.

2015 - Anonyme , "Carte Blanche  à" - Autun

à propos des sculptures "Vagues" , exposition extérieur "Tapis Rouge" à Chagny

 

…Ces deux couleurs, et leur traitement avec diverses nuances apportent une dimension supplémentaire à vos sculptures… 2013,

Joselyne B.-P., Tapis Rouge – Chagny.

 

…Je suis passé à Chagny. Les « Vagues » bleues s’accordent bien à la minéralité de certains emplacements… 2013, Jean-François N., Tapis Rouge – Chagny.

 

…C’est joyeux et plein de vie… 2013, Marita van der Poest-Clément, Tapis Rouge – Chagny.

« …Belle, ces formes ont quelque chose d’émouvant. »

2014 –  G. Chazal, à propos de la sculpture « Adam d’Autun, 1ère version ».

… Une sculpture désire et impose son espace… une sculpture est un être animé qui rentre en symbiose avec cette Terre, ce Territoire.

 

2009 - Extrait du catalogue de l’exposition « Ils sont 9, ils ont 9 jours ».

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C'était super....c est dommage , cette année nous n'avons aucune réalisation dans notre cour d'honneur pour nous étonner, éveiller nos émotions..
Pourtant , nous en avons tous besoin et plus particulièrement dans nos zones rurales éloignées de l' ambiance culturelle.
Merci Daniel pour nous avoir comblés durant deux belles années...
Eveline Deloince, directrice de la Maison régionale des arts de la table, Arnay-le-Duc - 2024

… «Daniel Lafouge burine l’esthétisme de ses rêves. En permanence Daniel phosphore pour renouveler les formes d’expression de son art. Que des œuvres soient intitulées : "Création", "Connaissance", "le Songeur" n’a rien de fortuit ! Le 21e siècle naissant, voici venu, pour Daniel, le temps de s’approprier les espaces de cette terre et de pousser les limites de ses horizons finissants. D’où des compositions ornementales de grande dimension faites en hommage à des conquérants. La série des "Vagues", entre jeux des Néréides, colère de Poséidon, est composée d’un mouvement circulaire de 5 éléments : Vagues I "Déferlante", puis dans l’ordre : "Tourbillon, Éclatement, Rejaillissement et Renaissance" et d’un mouvement linéaire de vagues rugissantes qui s’y incrustent pour y créer comme des flux et reflux. La coque en bois rouge du bateau de Jeanne Barret, Vagues VI vient les fendre et l’artiste salue ainsi la femme pionnière des conquêtes féminines de l’éternel univers marin. L’hommage à Zulma Blanchet, sculpture doublement monolithe, transmet la reconnaissance à l’ingénieur des Mines auquel on doit un élément fort de l’architecture industrielle minière, la Tour Malakoff. L’ensemble témoigne bien de la maturation des cheminements artistiques de Daniel. Depuis 20 ans, Ulysse hante ses rêves en recherche des clés de la route de l’île d’Ithaque pour "ouvrir les portes de la mer". C’est dans leurs engagements que se reconnaissent les humanistes de l’esthétisme.»

 

(Jean-Claude Perraudin, Vents du Morvan, 2017)

…Imaginez ce marteau qui répète inlassablement sa frappe sur ce burin, et qui éclats de pierre après éclats de pierre lui donne progressivement forme, toute en douceur et en rondeur, polie longuement. Seules des lignes sobres et doucement courbes lui donnent force, expression et sensible beauté, donnant vie à cette femme de tous les temps et incarnant ainsi le rêve qui hante son auteur, Daniel Lafouge. …

 

2010 - Albert Majewski, extraits du catalogue  « Sculptures 2010 ».

« Je reviens vers toi et sur le coup de cœur que m'a laissé notre première rencontre à la Porte Saint- André. Ta silhouette qui attirait la lumière du soleil était solidement campée dans un parterre de fleurs d'été. J'ai plus d'une fois repensé à cette apparition qui m'a laissé un souvenir énigmatique »...

 

2012 - Anne-Marie Weert-Petit, « Lettre à la Nouvelle Ève.

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